Métiers

Métiers et carrières

Devenir acteur d’un monde meilleur
 

Green Management School est l’école de la transition écologique et solidaire, un terme innovant et généraliste qui résonne déjà aujourd’hui avec un ensemble de fonctions existantes ou montantes dans les entreprises et collectivités.

  • Le responsable RSE définit puis coordonne l’ensemble des actions d’une entreprise ou collectivité participant au respect des normes et stratégies en matière de développement durable (transition écologique, économique, sociale…).

    Il pratique une veille normative et détermine les enjeux, définit une stratégie d’action et les indicateurs de contrôle, anime et coordonne l’ensemble des parties prenantes.

  • En lien avec le responsable RSE, le Directeur de la communication RSE participe à faire rayonner les projets et actions de développement durable d’une entreprise ou collectivité. En charge du faire savoir comme du faire s’engager, il valorise toute l’action RSE auprès des publics internes comme externes afin de créer un climat propice à son accélération et développement.

  • Garant de la gestion d'un produit dans son ensemble, de sa conception à sa mise en vente, le chef de produit développement durable met au cœur de sa démarche le respect de l’ensemble les questions sociales et environnementales qu’il prend plus comme des objectifs que des contraintes. Au cœur du dispositif marketing et commercial d’une entreprise, il a à cœur d’animer conjointement dans une logique d’éco-conception les notions de profit et rentabilité avec celles de respect du consommateur et de l’environnement.

  • Parce que les idées à défendre avancent par la capacité à convaincre les décideurs et les citoyens de s’en emparer, agir au titre d’un lobbying vertueux est un levier clé pour faire avancer les sociétés. Ainsi le lobbyiste environnemental peut oeuvrer pour fertiliser les consciences et ouvrir des perspectives aux initiatives nouvelles et durables constitue le quotidien de professionnels en charge des relations extérieures et affaires publiques pour le compte d’associations, d’ONG, de think tank, de fondations, d’entreprises innovantes etc…

  • Véritable start-upper d’un monde plus vert, le green entrepreneur est à l’initiative de projets entrepreneuriaux innovants permettant à la société d’accélérer sa transition écologique. Loin des logiques de green-washing ou d’opportunisme, le Green entrepreneur est un créatif disruptif capable de challenger un monde devenu pathogène par sa capacité d’innovation salvatrice et porteuse de solutions durables. Économie Sociale et Solidaire et émergence de nouveaux modèles économiques, tout est possible pour ce bâtisseur idéaliste souvent couronné de succès.

  • En complément des bonnes pratiques de réduction des déchets, les entreprises objectivent de plus en plus également de mener une politique responsable et durable dans leurs systèmes d’approvisionnement. L’acheteur responsable est sans aucun doute désormais l’une des futures fonctions clés : circuits courts, équitables, impact social et environnemental des fournisseurs…

  • Une étude Veritas de 2016 montre que seuls 22% de la data collectée par les entreprises ne serait exploitée. Entre coût d’acquisition, gestion de l’archivage, sécurité et normes RGPD, le green IT manager est en charge de mettre en place les bonnes pratiques visant à rationnaliser les coûts et impacts environnementaux des infrastructures numériques et d’un data mining boulimique.

  • De l'industrie aux ménages, c'est tout une chaine active qui produit ordures et déchets dans des proportions grandissantes. A l'heure où le recyclage, le réemploi et la valorisation sonnent comme des maitres mots, la mise en place d'une économie circulaire de la matière est un enjeu fondamental. C'est sur ce créneau qu'intervient le courtier en valorisation.